Des séances pour vous accompagner progressivement
Le premier rendez-vous : 1h45 à 2h
Cet entretien minutieux permet de questionner de nombreux aspects de votre vie, de votre santé, et de réaliser le bilan naturopathique, ou bilan de vitalité. Un programme personnel est mis en place selon vos priorités, vos besoins et votre terrain. Il tient compte de votre mode de vie et de tout ce qui est déjà en place, comme par exemple les éventuels traitements médicaux, pour vous garantir des conseils adaptés et sécurisés. Ce premier rendez-vous est, en général, suivi d’un deuxième quelques semaines plus tard. Ce bilan n’est pas un diagnostic.
Les rendez-vous suivants : 30 minutes, 1 heure ou plus
- Suivi et adaptation des conseils en fonction de ce qui a été mis en place et de l’évolution du terrain personnel.
- Accompagnement, en accord avec les attentes et le bilan : conseils complémentaires en alimentation, en mouvement / activité physique, en respiration, en hydrologien, en gestion du stress et des émotions, micronutrition et autres compléments
- Techniques manuelles : parmi les méthodes dont je dispose je choisis avec vous les plus adaptées à votre situation et votre terrain. Ainsi peuvent être proposées : de la réflexologie (auriculo, podo et sympathico-réflexologie), de la relaxation, des techniques relaxantes, des massages… Voir ici pour toutes les techniques proposées au cabinet, et certaines en distanciel
Parfois certains rendez-vous de suivi sont plus longs, comme lors du bilan, notamment quand nous ne sommes pas vus depuis plus d’un an, ou bien que le choix se porte sur une technique manuelle prenant du temps en plus du suivi d’hygiène de vie.
Pour prendre rendez-vous en ligne et connaître les tarifs
Cliquer ici pour des séances à Dinan ou en distanciel (visio)
Remarque : le praticien de santé naturopathe ne saurait remplacer le médecin traitant. Ses conseils ne sont pas une prescription et n’ont rien de commun avec une ordonnance. Il ne s’agit ni de remèdes symptomatiques, même naturels, ni de traitement de maladies. Ce n’est ni son droit, en France, ni son objectif.